Cette chronique bimensuelle aborde des sujets, vous l’aurez deviné, autour du voyage et de la question animale. Un rendez-vous à poil et à plume, où je vous présenterai les pratiques à privilégier au contact des animaux, les personnes ou associations engagées dans différents projets autour du monde.
A travers le monde, et lors de nos périples, nous sommes régulièrement en contact avec le tourisme “animalier” et parfois (souvent) même, l’exploitation des animaux sous différentes formes : quid de l’éthique derrière tout cela, et comment déjouer les pièges à touristes ? Un zeste de sensibilisation, une pincée d’information, et plusieurs louchées d’écoutes de cette chronique vous permettront d’être incollable sur le sujet.
Avant tout, cette chronique Bulle sauvage est née d’un voyage autour du monde d’un an en sac à dos, où se mélangeait l’envie de côtoyer les animaux tout en respectant une limite : celle de ne pas avoir d’impact sur leur bien-être. Et le constat fut simple : la présence de la faune sauvage est soit une source de revenus que l’on exploite à outrance, soit une source de dérangement dont la cohabitation humains/animaux est alors un véritable défi.
Heureusement, des solutions se dessinent, des associations et même des gouvernements se mobilisent et des alternatives s’offrent à nous !
A nous, voyageurs, d’être acteurs du changement.
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