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Vol au-dessus des lignes de Nazca

Écrit par sur 20 septembre 2022

Bonjour les voyageurs ! Sacrés veinards que vous êtes ! Si je vous dis “lignes de Nazca” ça vous parle ?

Vous doutiez-vous ce matin que vous vous envoleriez dans la journée pour le Pérou ?

Non bien sûr… Et bien c’est parti ! Nous allons le survoler sans atterrir et l’admirer depuis les airs.

Attachez-bien votre ceinture. Je suis votre commandant de bord. Est-ce que je sais piloter ? Pas du tout. D’où la nécessité de bien attacher votre ceinture. Regardez par le hublot. Nous sommes juste au-dessus des mystérieuses lignes de Nazca.

Le mystère des lignes de Nazca

En 1927, le Péruvien Toribio Mejia Xesope relève ces étranges lignes dans le désert.

En 1939, l’Américain Paul Kosok les survole pour la première fois.

Si aujourd’hui encore leur présence demeure un mystère, différentes suppositions s’entrechoquent.

Pour Maria Reiche, la spécialiste des lieux, il s’agirait d’un calendrier astronomique.

Pour plusieurs archéologues, c’est plutôt la copie de figures formées par les étoiles pour en étudier les mouvements.

Il pourrait aussi s’agir de la représentation de veines hydrauliques.

Pour d’autres enfin, tel Charroux, ce n’est rien d’autre que l’œuvre des extraterrestres.

Mon expérience au-dessus des lignes

Je vous raconte à présent l’envers du décor. Voilà comment ça c’est passé pour moi…

Ça secoue bien et quand le pilote me demande si tout va bien, j’ai à peine le temps de répondre oui que déjà c’est non. Mon cœur vient d’invertir de place avec mon estomac. Je tiens bien fort son sac à vomi. Je ne suis pas bien glorieux.

Trente minutes de vol durant lesquelles nous penchons bien à droite puis bien à gauche pour observer les fabuleuses et mystiques lignes de Nazca.

Nous survolons ainsi la baleine, des triangles et des trapèzes, l’astronaute, le chien, le singe, le condor, l’araignée, le colibri, l’arbre et les mains.

C’est superbe et je conseille bien sûr tout le monde d’y aller tant qu’il est encore temps. En effet, du fait de l’érosion et du climat, elles sont amenées à disparaître rapidement.

Retour sur la terre ferme. Maintenant je peux vomir.

Pour poursuivre l’aventure, je vous propose d’écouter l’interview de Roland Dubertrand, l’ambassadeur de France au Chili.


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